12)Jongler n’est vraiment pas mon fort ! Enfin, fin aout 2008, je retrouvai un emploi, et quel emploi, mais au début, j’y étais heureuse. Nous étions six quand je commençais à y travailler, à mi-temps, mais rapidement, (au bout de deux ou trois jours) l’un de mes collègues démissionna, et boum, nous voilà à cinq, ils embauchent une remplaçante, qui tient deux semaines, et c’est reparti pour un tour, démission… puis l’une d’entre nous qui d’après eux ne faisait pas bien son boulot fut obligée – par eux – de démissionner. (Oui ! parce que eux – je ne dirais pas qui, inutile de me demander… bon ok, on a qu’à les appeler, hum…Monster Daclad ! – ils ne licencient pas, sans doute pour pas verser d’indemnités !) Entre temps, ils avaient de nouveau embauché quelqu’un, mais même pas à vingt cinq heures, elle, elle ne faisait – si je m’en souviens bien – que seize ou dix-huit heures… bref les conditions se dégradaient, et c’était, pour moi, de pire en pire.
A côté de ça, malgré une envie monstre d’écrire, je n’y parvenais pas.
Obligée de faire une pause, trop fatiguée.
Sans doute aussi trop sur les nerfs
Mais les idées se bousculaient : « un récit, un récit… je dois faire un récit »
Je l’avais commencé ce récit, mais il n’avait pas dépassé le second chapitre… humpf, tout restait à écrire, pour en venir à…