Inès

Amie de Willow depuis longtemps, elle me propose de dire quelques mots du roman que j’offre au choix des lecteurs :

 

            La geste de Guillaume le mauvais.

 

2068.

Nous ne sommes ni dans « Le Meilleur des Mondes », ni dans « 2001, l’odyssée de l’espace ».

Les catastrophes déjà prévisibles ont eu lieu et la planète est en lambeaux.

En Neustrie, territoire cerné d’un côté par la mer, de l’autre par des terres brûlées ou irradiées, survit une société dévastée presque moyenâgeuse et qui a tout perdu du monde moderne, ses techniques, ses richesses, son abondance mais aussi les savoir-faire des anciens. Sur ces terres détruites, survivent de misérables paysans tyrannisés par des potentats qui se sont appropriés le peu qu’il reste de notre monde d’abondance et qui rançonnent les malheureux qu’ils maintiennent en leur pouvoir. Beaucoup d’animaux sauvages ont disparu, le cheptel est devenu rare, les récoltes étiques. Les classes dominantes ont à leur service des soldats d’autant plus cruels qu’ils subsistent grâce aux largesses distribuées par un pouvoir qui sait privilégier ceux dont il a besoin. Par ailleurs, de nombreux réfugiés bannis de leur terre par les changements climatiques et leurs dramatiques conséquences, le manque d’eau et de vivres, les guerres essaient de se réfugier sur les fragments de terre encore habitables. En Neustrie, ces malheureux chassés de partout sont impitoyablement massacrés ou asservis.

Sur cette terre de pénurie et de violence, quelques âmes charitables tentent de créer des mouvements d’entraide pour secourir les plus faibles malgré l’hostilité d’une population travaillée par des mouvements racistes ou xénophobes peu encline à la générosité.

 

Sur cette terre de misère, Guillaume, né en 2042, dans une famille de paysans, s’acharne à tenter de vivre.

 

Edit: les extraits de roman ne sont plus en ligne

 

 



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