quelques éléments de moi parsemés dans ce site...^^
Henri Guillemin (posté le 06/08/2010 à 23:42)
Si vous connaissez le site de la télévision suisse romande alors peut-être connaissez-vous leurs vidéos…
Parmi elles, il y a des trésors, de véritable joyaux et plusieurs d’entres elles sont des conférences d’un historien et polémiste français, Henri Guillemin !
Oh, ne croyez pas que polémiste dans le cas d’Henri Guillemin l’amène à ressembler à Éric Zemmour, ils n’ont pas beaucoup en commun.
Mais revenons à M Guillemin, il fit plusieurs série de conférences historique dans les années 70 et on a le plaisir d’en trouver un bon nombre sur le site de la TSR, « Jeanne d’arc », « Napoléon », « La Commune » ou « L’autre entre deux guerre » sont en ligne, ainsi que d’autre. Venez vous abreuvez aux révélations historique d’Henri. Savourez son langage, amusez vous de ses petit tic, comme de tripoter son stylo ou de toucher l’arrête de son nez…
Ses papiers sur son bureau, qui font penser aux antisèches des collégiens studieux.
Sa passion communicatrice à conter l’histoire, à remettre nos connaissance à l’endroit, à nous dire des choses que nous ignorions. Il fouille l’histoire officiel et à coup de citations, remet les choses au vrai.
Tout cela est un bonheur, allez le découvrir si vous ne le connaissez pas.
Je vous adresse ces quelques lignes en attendant que l’orage passe… façon de parler, je vous rassure !
Premièrement, le site évolue, deuxièmement jusqu’à mercredi je suis super occupée :( alors c’est l’âme en peine que je vous préviens, je ne pourrai pas vous écrire demain, ni après demain… mais jeudi, la première fiche personnage arrive et en prime, sur MMCBOOKS, je vous mettrais un nouvel extrait !
Que diable, il faut que je bouge un peu, que je réveille mes persos pour les faire aller au charbon !
Mais en même temps, une chose m’arrive, j’avais lâché le « bébé » (oui, après avoir terminé un roman, on ne doit pas faire comme Yves Duteil et prendre « l’enfant » qu’est notre ouvrage par la main, on a plutôt la lourde et douloureuse tâche de le lâcher, pour le laisser voler de ses propre ailes… comique pour un bouquin, hein !)mais voilà, j’en suis à deux chapitres de la fin du tome deux… et il y a un problème… enfin pas vraiment, mais, voilà, le tome deux sur la fin est sanglant ! Attention ! Sans être gore. Mais le problème, c’est que le premier ne l’est pas assez en comparaison, alors que faire, quoi faire ?
Reprendre le premier et ajouter une ou deux scènes ? Je me tâte, ce serait intéressant d’introduire une ou deux scènes en plus… affaire à suivre !
Il va être temps de faire appel à vous, alors vous, cher lecteurs, vous qui savez dessiner… qui aimez les histoires d’elfes, de nains, de princesses et de Shrek (non, pardon, je déraille, il n’y a pas de Shrek dans mon histoire) venez me proposer vos petits dessins pour illustrer les fiches de mes personnages !!!
A votre imagination ! Laissez s’envoler dans les hautes sphères votre créativité, ensuite, vous me demandez mon adresse mail grâce à la page contact, et une fois que j’ai assez de dessins je vous le ferez savoir.
Avec l’aide de plusieurs personnes –selon les disponibilités – ou si vous préférez (mais pour ça il faudrait me le dire !!!) je mets les dessins en ligne et je vous fais voter, si la seconde solution est votre choix, commentez donc l’article :), et je mettrai les dessins gagnants en ligne avec la description psychologique du personnage !
N’ayez pas peur de me contacter pour me dire que vous voulez participer… j’aimerais que ce site soit participatif ;)
Je me livre beaucoup à vous à travers lui, en échange, je vous demande quelques dessins !
Ah ! N’oubliez pas de signer vos chefs d’œuvres, de votre nom ou pseudo, c’est d’une grande importance, si le site a du succès, peut-être vous ferez-vous remarquer comme dessinateur de génie… et peut-être mon petit roman lui aussi sera remarqué… buzzons les enfants ! un bon buzz… l’éclair… au chocolat… je crois que je m’égare là, vous trouvez pas ?
Si vous me lisez, faite connaître ce site, et plus le site sera connu plus les dessins que vous m’enverrez serons vu, n’ayez pas peur, ça n’évite pas le danger, et si vous avez le rêve de vivre de vos dessins, leur faire une pub d’enfer est un bon moyen, n’en ayez pas peur non plus, avoir des rêves et tenter tout pour qu’ils aboutissent au résultat souhaité, c’est la plus belle chose au monde, bien sûr, personne n’est sûr de parvenir au but, mais essayons ensemble, vous avec vos dessins et des commentaires – qui pourrais enrichir le site – moi, avec mon roman !
Moi, j’ai perdu dix ans parce qu’on m’a fait croire que la vie devait exclure la notion de rêve, que pensez que je pouvais réussir à vivre de quelque chose qui pour moi est une vrai passion était chimérique, mais ce que est utopique, c’est de croire que vivre est possible sans ce quelque chose qui constitue pour vous, ou pour moi une passion !
Bon maintenant que j’ai écrit presque une nouvelle, je me rends compte que ça n’a ni queue, ni tête^^ tant pis, ça va vous faire marrer !
Dans pas très longtemps, je vais faire pour mon site une sorte d’appelle à dessins…
Comme vous le savez, j’écris, cela se passe dans un monde du style héroïc fantasy.
Mais voilà j’ai un gros problème, je suis nulle en dessin !
Mais peut-être que certains d’entre mes chers lecteurs, savent dessiner, eux. (Moi à part les monstres avec des cornes et un œil !!!) Alors je vais, dans peu de temps, vous demandez de m’envoyer par mail des dessins –roup, retour en arrière – d’abord, je vais mettre des fiches personnages, la première partie sera le descriptif physique du personnage et une fois que j’aurai assez de dessins, je mettrais en lignes les deux ou trois dessins vainqueurs et la fiche disons psychologique du dit personnage. Je pense, ou plutôt j’espère que j’aurai vite plusieurs dessins :)
S’il y a un bon rendement, je pense que je mettrais une fiche personnage par mois, mais ça, ça ne dépend que de vous !!!
Bien sûr, sous les dessins gagnants, je mettrai votre nom ou pseudo selon votre choix !
Et comme le but avoué à partir de maintenant est de parler de mon « œuvre » - ouais, d’abord, c’est une œuvre !!! Oulala, je dois me calmer, faut pas trop que je me la pète… - je vous en parlerez un peu plus, mais il y aura toujours des « C’est comme ça » et des « Willow après son destin », pas de soucis, le site va pas changer du tout au tout ;), juste évoluer un peu… n’oubliez d’ailleurs pas d’aller faire un tour sur MMCBOOKS à la page de Blanche Le Templier – parce que c’est moi ! – pour découvrir quelques extraits de… mon livre !
Merci de m’avoir lu, et continuez à me suivre dans mes aventures^^ !
Avant tout, je n'ai pas pu écrire d'article aujourd'hui, mais je ne sais trop pourquoi, je vous mets un poème que j'ai écris il y a deux ans! J’espère qu'il va vous plaire!
Qui je suis
Je suis la pluie Je suis le vent Je suis le mauvais temps
Je suis la nuit Les heures sombres Je me voudrais pénombre
Souvent je fuis Je suis enfance Douceur et insouciance
Je suis sans bruit Je suis instinct Je demeure indistinct
Si je séduis Je suis l'hiver Me sens si proche de la terre
Si dans tes yeux je luis C'est toi qui me poursuis Celle qui fuit c'est moi Je ne veux pas d'amour courtois
C'est là ce que je souhaite C'est là ce que je suis A mon combat faire retraite Trouver celui qui à son tour sera ma nuit
Terminer un roman, c’est un peu comme accoucher (attention, je parle là de l’instant où l’on écrit le mot « FIN » pas de l’instant où la correction et les différents changements on été faits) finir l’histoire, avoir réussi à l’amener à son terme est une grande chose, mais avant que cela ne soit fait, quand on commence à s’en approcher, on rechigne à mettre le point final, de la même manière que quand on termine un livre, on ralentit en voyant venir les dernières pages. – en tout cas quand c’est un bon livre – Pourquoi ça ?
Peut être parce que l’on n’a pas vraiment envie de quitter ceux qui ont voyagé à nos côtés durant quelques pages…
En tout cas pour moi, c’est ainsi. Je souffre de les laisser, même si je sais parfaitement que je n’ai pas terminé mon histoire, il y aura d’autres tomes, certains de mes personnages n’ont pas atteint le bout de leur chemin… pourtant les quitter, ne serait-ce que pour quelques temps, même pas le temps d’un battement de cil, pour les retrouver dans d’autres situations… sans parler de certains qui sont morts !
Tous cela me heurte plus que je ne saurais le dire.
Et puis ensuite, il me faudra en même temps que de reprendre mon histoire en d’autres temps, pour écrire la suite, il me faudra revenir sur le livre terminé, qui ne l’est que par l’histoire, parce que je ne puis le jeter en pâture au lecteur atteint d’une soif dévorante de lecture que s’il me semble parfait… cela suppose plusieurs relectures, rectifications, changement de mots, de verbes, d’adverbes, d’adjectifs… et combien de correction pour qu’il ne reste qu’une portion congru de fautes de cette orthographe si chère aux auteurs et aux hussards noirs de la république.
Pourtant des fautes, il en reste toujours, mais je devrais faire de mon mieux pour en éliminer le plus possible.
Et en ce moment, ou j’écris ces mots, je souffre le martyre, les douleurs de cet enfantement de manuscrit n’ont pas encore commencé, mais dans peu de temps, je sens que je perdrai les eaux, alors je ralentis, pour savourer encore un peu, le délice de mon histoire.
L’une de mes révélations (posté le 19/07/2010 à 18:54)
Par un hiver, au début du mois de décembre – oui, je sais l’hiver ne commence que le 21 décembre, je fais un raccourci ! – je ne trouvais rien à regarder, je mis TMC, et je tombai sur un feuilleton Québécois. D’abord étonnée d’entendre parler les acteurs avec le charmant accent du Québec, je fus très vite prise par l’intrigue, et à tel point qu’à l’issue du générique de fin je remarquai que cette série était tirée d’un livre :
«Les Filles de Caleb : Le Chant du coq » pour le noël qui suivit, je le demandai et je découvris ainsi la série et le roman, d’abord « Emilie », ensuite « Blanche, Le Cri de l'oie blanche », furent les premiers livres d’Arlette Cousture que je lus, ensuite je cherchai d’autres livres d’elle, et je lus dès que j’en eu l’occasion « Ces enfants d'ailleurs. Même les oiseaux se sont tus », l’année où justement le salon du livre invitait des auteurs québécois, et Arlette Cousture s’y trouvait ! Je voulus lui faire dédicacer mon exemplaire de « Ces enfants d’ailleurs », mais dès que je la vis, mon cœur s’affola et je m’évanouis presque dans ses bras, elle me fit asseoir, boire et écrivit sur mon livre :
« Pour Willow, (oui, je suis pas stupide, je vous mets mon pseudo)
Merci, ma belle, de faire de moi un écrivain. Sans toi, sans ton imagination, sans ton émotion, aucun de ces personnages ne seraient vivant. Cordialement, Arlette Cousture.21 03 1999 »
Elle me fit remarquer avec son accent chantant que si je me mettais dans un tel état pour elle… qu’est-ce que ce serait avec mon futur amoureux par cette phrase
« J’plains l’pauvre monsieur… »
Je garde cette dédicace précieusement !
Mais je n’ai pas arrêté à cette aventure mon amour des livres d’Arlette Cousture, je lus la suite de « Ces enfant d’ailleurs. L'envol des tourterelles », puis «J’aurais voulu vous dire William » et « Tout là-bas », hélas je n’ai pas lu tous ces livres, mais dès que je pourrais, je lirais ceux que je n’ai pas encore lus, tel le troisième tome des Filles de Caleb, « Elise, L'abandon de la mésange »… merci à vous Arlette Cousture d’écrire de si beaux romans.
Et puis il ya deux autres choses, qui sont peut-être comme un signe du destin… le prénom Blanche que j’utilise comme nom de plume, C’est celui de ma grand-mère, et accessoirement mon second prénom. Ma grand-mère née en 1912 alors que Blanche Pronovost (parce que ce qu’il faut savoir c’est que les romans s’appuient sur des personnages qui ont existés) a dû naître vers 1908 ou 1909. Et puis aussi, de même que mon second prénom est Blanche, l’un de mes prénoms –eh oui j’en ai trois – est celui d’une des héroïnes – je ne vais pas pousser jusqu’à vous dire si c’est mon troisième prénom ou mon prénom, ni s’il s’agit d’Émilie, ou d’Élise – mais il est certain que cette proximité nominale m’est précieuse, me touche et me bouleverse.
Je viens d’écouter l’émission de radio – que j’avais ratée – de mymajorcompany sur Goom radio… en général, je suis assez d’accord avec ce qui a été dit pendant l’émission. Contrairement à beaucoup (semble-t-il, sur le site) je suis convaincue par les arguments de MMC, même la partie qui concerne deux des sujet qui me préoccupe : Agonie et MMCBooks.
Si pour ce qui est de MMCBooks la discussion a été calme posée et directe avec une jeune femme à l’écoute – auteure sur le site – il me semble qu’entre le coproducteur d’Agonie et l’équipe de MMC le dialogue a été plus du genre de ceux que j’ai parfois j’ai pu entendre quand j’étais agent d’entretien en maison de retraite…
« - Ma bonne dame, y a plus de saison, commence madame V à qui madame F répond :
-Hier, j’ai regardé la télévision, il y avait Navarro !
- Tout-à-fait, et il ne neige plus l’hiver, les petits animaux sont perdus…
- Oui, passionnant, il y avait eu plusieurs morts inexpliquées et le commissaire il pataugeait.
- Bien sûr et vous savez quoi, le temps sera tellement détraqué dans dix ans qu’on sera à Paris comme sous les tropiques ! »
Je ne compte pas le nombre de fois ou ce genre de conversation m’a surprise en plein travail. Eh bien on peut voir que de chaque côté lors de l’émission, le dialogue était assez celui qui existait autrefois entre madame V et madame F.
Si j’entends et comprends et même par certains aspects adhère à ce qu’a exprimé mon ami coproducteur d’Agonie, j’entends aussi les arguments de MMC, mais je regrette que MMC n’ait pas parlé –bien qu’ils aient certainement leur raison pour cela - n’aient pas parlé d’une rumeur dont j’ai eu des échos, des échos vagues et des plus flous, sans beaucoup d’expliquations, qui me sont en effet venue aux oreilles, et j’aurais aimé que MMC en parle, mais à part cela, bien que je ne sois pas universellement en accord avec tout ce qui fut dit, j’apprécie au moins le fait que cette émission ait eu lieu.
Je meurs d’envie d’aller faire un tour dans une salle obscur… mais pour voir quoi ???
C’est entendu Twilight est sorti, mais franchement je sais pas trop… rien ne me fait vraiment envie, et les semaines qui suivent, c’est à peu près le même topo, en fait pour trouver un film qui m’inspire vraiment, je dois attendre le 28 juillet, avec trois films qui sortent et me donnent envie de me déplacer.
« Le Dernier maître de l'air », « Millénium 3 - La Reine dans le palais des courants d'air » et « L’âge de raison » dont je vous ai déjà longuement parlé. En attendant, je vais devoir être patiente et ce n’est pas une de mes qualités !
En plus comme chaque été, la télévision nous offre des programmes diététiques, donc c’est pas franchement la joie, heureusement que j’ai Proust…
A ce propos, il faut que je vous avoue une chose, je lui ai fais une infidélité la semaine dernière, je vous rassure, l’infidélité a duré deux jours, seulement… mais quand même j’ai lu Victor, le grand Victor Hugo, en fait je cherchais sur les conseils de l’émission littéraire « D@ns le texte » du site « @rrêt sur image » le livre « Histoire d’un crime », mais ma bibliothèque ne l’avais pas, alors je me suis rabattue sur « Le dernier jour d’un condamné» et donc, j’ai trompé Proust, mais tout va bien, lui et moi nous nous sommes retrouvés, je lui fais encore quelques infidélités, mais c’est un livre en anglais, donc c’est plus au compte-goutte.
« The Curious Incident of the Dog in the Night-time» de Mark Haddon, et puis pour les moments ou je n’écris ni ne lis, il y a le site de la TSR où je regarde avec Odette les conférences d’Henri Guillemin, dont un exposé passionnant sur cette histoire terrible par la répression qui en a été faite, La Commune!
Bientôt, le 28 juillet, sort au cinéma un film de Yann Samuel avec Sophie Marceau :
« L’âge de raison ».
Je l’ai vu dimanche en avant première… hein, quoi… ha, vous voulez savoir de quoi ça parle, le Synopsis ?
"Cher moi-même, aujourd'hui j'ai 7 ans et je t'écris cette lettre pour t'aider à te souvenir des promesses que je fais à l'âge de raison et aussi te rappeler ce que je veux devenir..."
Ainsi commence la lettre que Margaret, femme d’affaires accomplie, reçoit le jour de ses 40 ans.
Enfant, Margaret, de son vrai prénom Marguerite était un vrai feu follet, des rêves et des projets fous plein la tête… mais au fil du temps, elle s’est perdue, elle rêvait de sauver les baleines, voulait sauvegarder la planète et aider le tiers monde, mais à présent, elle fait tout le contraire, mais à l’âge de 7 ans(qui est l’âge de raison – comme si, comme ça d’un coup on était soudainement raisonnable parce qu’on atteint cette âge… – là vous ne pouvez me voir, mais je lève les yeux au ciel ce qui pour taper n’est pas super pratique…)
elle a eu l’idée la plus dingue – et géniale en même temps, parce que tout ce qui est dingue a une part de génie – de s’envoyer à elle-même une série de lettres pour se rappeler, se rappeler qui elle était vraiment… pour se sauver d’elle-même.
Moi à sept ans, je ne savais pas ce que je voulais être, pas l’ombre d’une idée, rien, que dalle, nada ! A sept ans, j’avais peur de la mort en général, et de celle de mes proche, et de la mienne en particulier, la seule chose dont j’étais certaine, c’est que je ne voulais pour rien au monde être infirmière… - j’ai jamais vraiment compris pourquoi, mais c’est toujours le cas. –
On m’aurait dit quand j’avais cette âge de raison (re yeux au ciel) que je ne me sentirai vivre que lorsque j’écrirai un texte quel qu’il soit, j’aurais hurlé de rire, je n’y aurais pas cru une seconde.
Entre elle et moi, il n’y a qu’un point commun, nos pères sont partis. Mais elle savait qui elle voulait être, moi pas. Elle s’est perdue en chemin, moi, je me suis trouvée. Marguerite, puisque c’est son prénom et moi, nous sommes un peu comme l’image inversé l’une de l’autre, elle a perdu de vue son enfance, elle ne croit plus en rien, moi mon passé, mon enfance, je m’y accroche si désespérément que je suis une sorte d’extraterrestre, un être loufoque et curieux, je porte un monde voire plusieurs en moi, ils ne demandent qu’à éclore, et ils le feront, chacun à leur heure.
En fait, j’ai aimé, j’aime ce film, parce qu’il me renvoie une image pas si éloignée de moi que ça… et peut être aussi parce que j’ai aimé que la fin ne soit pas celle à laquelle on pouvait penser au vu du genre de ce film, allez-le voir, car, comme le dit Laurent Joffrin à la fin de chaque numéro des « Détectives de l’histoire » :
« Voilà donc notre (ma) conclusion, elle n’engage que les auteurs (l’auteur) de cette émission (article dans le cas présent) … bla bla bla… A vous de vous faire votre opinion. Après tout elle vaut bien la nôtre (la mienne)…Bla bla etc. »
